Dakota Privilton • If you knew what there is in my mind...
Messages : 41 Date d'inscription : 03/08/2009 Age : 28
Carte Du Campus. Nom & Prénom: Dakota Privilton Matiére Principale: Architecture Âge: 18 ans
| Sujet: Dakota Privilton Lun 3 Aoû - 13:04 | |
| DOSSIER D'INscriptION
| _ Dakota Privilton (Jade Lavoie choisie) - Date & Lieu de naissance: 31 Décembre 1991, Baton-Rouge –Louisiane. - Age : 18 ans. - Nationalité & Origines : Américaine, ma mère à des origines suèdes –mon arrière grand-mère y vit avec une partie de ma famille, que je n’ai jamais rencontré, mais que j’aimerai bien. - Etudes : Architecture - Groupe : Planeurs |
PERSONNALITE & HISTOIRE ..
| Votre Passée à Aujourd'hui : [Minimum 10 lignes]
Chapitre 1 : Mon arrivé sur terre.
C’est dans l’après-midi du froid de Décembre que je naquis, à la clinique privée de Baton-Rouge. Celle pour les gens trop bien pour l’hôpital. A 12h17 exactement, ma mère entré en salle de travail, et a 15h25 je poussais mon premier crie. Je mesurai 52cm pour 3kg. Un « beau » bébé. Mon père me donna mon premier bain, et j’eu le droit au petit bracelet –dès fois qu’on aurait voulut m’échanger dans la maternité ;D, avec un minuscule bonnet blanc en lin, pour protéger mon crane chauve. Si j’avais eu un âge plus avancé, après que les infirmières m’ai emmenés dans la nurserie, j’aurai put entendre la première dispute de mes parents, à propos d’un voyage d’affaire de mon père. Il partait ce soir, et ma mère trouvait ça ignoble de laisser sa fille à peine âgée de 1 jour toute seule, privée d’une présence paternelle. J’aurai aussi put entendre mon père, collé à la vitre, devant la rangé de berceaux, murmuré un joli petit « Ne t’inquiète pas, maman sera toujours là, par contre, papa…. » Et, surtout, j’aurais put voir venir ma mère en pleur, passer toute la nuit sur une chaise, à veillé mes moindres geste, mes moindre gazouillement, de peur que je n’ai quelques chose.
Chapitre 2 : Je n’aurai jamais imaginé assisté à ça un jour.
J’avais 5 ans, je ne suis pas très grande, d’une blondeur presque blanche et un vrai talent pour le dessin. J’ai aussi mon chauffeur personnel pour m’emmener et venir me chercher à l’école. Ma prof de sport étant absente à la dernière minute, j’appelai mon chauffeur pour qu’il vienne ma chercher. Toute heureuse de faire la surprise à ma mère, je m’imaginé déjà en train de préparer de gouter avec elle. *Des cookies, ou des muffins ? Non ! Des cupcakes. Oooh, je ne sais pas ! * Voilà la seul préoccupation que j’avais, loin de me douter de ce que j‘allais trouver. Mon chauffeur me déposa devant la porte, et j’entrais sans un bruit, voulant aller dans la cuisine er crier « Surprise !» à ma petite maman. J’ouvrais la porte, et la, une voix qui m’avait parut aussi forte que le tonnerre résonna dans la maison. Celle de papa. Je n’entendais pas celle de maman, Seuls des sanglots et des petits hoqueter de peur me parvenaient aux oreilles. Je m’assis par terre, ne sachant quoi faire. Serran mon cartable de toute mes forces, mes jointures en étaient blanches. Soudain, la voix de papa s’arrêta, et j’entendis quelque chose se briser par terre. Apeurée, je sortis de la maison et regardais l’heure, 15h45. L’école se terminer à 14h30. Je n’avais plus qu’à attendre cette heure là, plus 10 minutes, le temps que mes mon chauffeur pour me ramené, et alors, je pourrais rentrer à la maison, manger le gouté que maman aura fait, et si il est salé, je saurais pourquoi.
Chapitre 3 : La délivrance du secret.
J’avais 12 ans, et un secret bien lourd à porter. Celui des disputes incessantes entre mon père, et a mère. Enfin, maintenant, elle diminué de plus en plus, vus que mon père était de moins en moins à la maison, ce qui m’arrangé. Cependant, maintenant, ma mère, je la méprisé aussi. Je savais depuis longtemps que mon père trompait ma mère, pas de relations longues, non, des prostituées, à chaque fois. Mais, lorsque j’étais rentré et que j’avais trouvé ma mère, dans les bras de mon professeur d’histoire, j’avais eu des envies de meurtre. J’étais sortie en claquant la porte, les laissant tout les deux, sur le canapé, quelques peu hébétés. Le soir même, j’appelais ma mère pour lui dire que j’allais dormir chez une amie. Ce qui était vrai, d’une pars, j’allais bien chez une amie, mais pas vraiment dormir. Car, son grand frère donné une fête avec uniquement des potes garçons, de minimum 14 ans, jusqu’à 16. Amanda et moi, squattions justement cette « fête », plutôt calme d’ailleurs, en apparence. La bande se trouvait dans la chambre de son frère, Musique pas très forte, juste pour couvrir le bruit du décapsuleur et de ceux qui roulé des pets, J’entrais dans la chambre, quand je vis James, 15 ans. Cheveux mi-longs blond un peu bouclés, short avec des grosses fleurs et µT-shirt noir avec un logo« peace » rose dessus. Wahou ! Je m’assis à côté de lui, pendant qu’il roulé un pet. Soudain on me mit une bière dans la main, j’en buvais une gorgée, j’avais déjà gouté à de la bière, une seule fois, mais, j’étais sur que ça n’en était pas. Ca me brulais la gorge, et à en voir les têtes des autres, ils attendaient ma réaction. Je m’empêchais de faire une abominable grimace et de tousser, à la place, je disais : « Wahou, ça déchire, c’est quoi ? » D’un air le plus naturel possible. Quand ils me répondirent tous avec un grand sourire « Absinthe », je fis mine de connaitre, vaguement, alors que pas du tout. La soirée continua, je goutais à tout, clope, pet, cocktails et même aux lèvres de James. Dans la soirée, nous nous étions isolés dans un coin de la chambre. J’avais la tête enfuit contre son torse, il avait ses mains sur mes hanches. Je lui racontais tout, les cris de mon père, les larmes de ma mère, les tromperies familiales tout. Et à chaque fois que je tremblais trop, ou que des larmes roulaient sur ma joue, il me serait un peu plus fort contre lui.
Chapitre 4 : Le départ.
J’ai 17 ans, je ne suis toujours pas très grande, j’ai les cheveux qui ondulent, toujours blonds, et je suis toujours douée pour le dessin. Mais, ce qui a véritablement changé, c’est que j’ai décidé de ne plus regardé mes parents qui ce détruisent l’un et l’autre à tour de rôle. Je pars, je vais à la Mileystion University. Je vais faire des études d’architecte. Je vais changer d’air. A l’aéroport, ma mère est en larmes, mon père n’est pas là. Il y a aussi Amanda, qi aux yeux brillant, et James. James, une vraie histoire compliquée. Couple, pas couple, ont à fait le yo-yo depuis qu’on s’est rencontré, il y a un bout temps, mais on ne s’est jamais laissaient tombés. Il me sert fort dans ses bras, il sait qu’on ne se reverra peut-être plus jamais. Il part à l’université d’Oxford, en Angleterre. Nous nous donnons notre dernier baiser. Nous ne sommes pas ensemble, mais je l’embrasse, un baiser salé. Puis, vient le tour d’Amanda, je sais qu’elle, je la reverrais certainement, elle va à l’université du comté. Puis, ma mère. Elle pleure trop, c’est sur jouée, même pas sincère, je la prends dans mes bras et lui fait une bise. Un dernier appelle du micro pour els passagers du vol pour Toronto. Je monte dans l’avion. Regarde l’aéroport rétrécir et disparaître.
Caractère, Goûts, Vie Amicale & Sentimentale : [Minimum 6 lignes]
Parce que les amis sont toujours là quand les autres sont partis ;
Kyle Scott Depuis mon arrivé ici, tu as toujours été la pour moi. Je te confie tout, mais absolument tous. Tu connais toute mon histoire, je connais la tienne. Il ‘n’y a jamais eu d’ambigüité entre nous, best friends 4 ever. au début, je n’aurais jamais crus que nous serions plus que juste des connaissances, mais tu m’as parlé, et je t’ai répondus. Même si ça ne fait que 2 ans qu’on se connaît, j’ai une absolue confiance en toi. 2 ans…J’ai l’impression que ça en fait 10 !
Vanessa Weetord Ma petite amie. Un cou de foudre, vraiment. Tu m’as accueillis dans les planeurs, et on ne c’est plus quitté. Comme une évidence. Si tu savais à qu’elle point je tiens à toi, Notre première expérience féminine, au début, tu n’oser pas, mais l’amour triomphe de tout =D. Je t’aime.
Joe Lewis Mon petit ami, il en fait tellement pour moi. Il supporte ma double relation, m’aime et me soutient. Je sais que cette double relation le fait souffrir, c’est d’ailleurs le principal sujet de nos prises de têtes. Mais, je tiens énormément à toi aussi, et je t’interdit d’ne douter u instant ;
Physique & Signes Particuliers : [Minimum 5 lignes] |
Je ne suis pas très grande, 1m63. Mais les talons compensent^^. Je ne suis pas épaisse du tout aussi. Il paraît que ça en devient moche, pourtant, j’ai tout essayé. McDo presque tout les jours, rien à faire, je ne grossis pas. Je reste donc à un poids de 41kilos. Je suis blonde, les yeux gris-vert. J’ai des piercings, de tatouages, un tribal en bas du dos, et une petite étoile aux poignets droits, sur la veine. J’ai un tache de naissance sur la cheville gauche, petite, elle est beige foncé. Mais, comme ma peau est très pale, malgré mon amour pour le soleil, on la voie un petit peu quand je suis en short et baskets basses. Sinon, j’aime bien avoir les ongles manucurés, ne me demandé pas pourquoi xD. Pas de faux ongles ! Mais, des ongles bien nets, je trouve ça trop mignon ! Je m’habille sans vraiment avoir de style, mais c’est toujours stylé mdrr’. Les couleurs flashy j’aime bien, mais je peux êtres très sobres, comme je peux avoir un style très destroyer et très classe. DERRIERE L'ECRAN- Prénom : SNOW - Âge : 13 ans - Niveau RP : 13/1o - Exemple De RP : - Spoiler:
Je m’étais réveillé de mauvaise humeur ce matin. Tout d’abord parce que j’avais oublié que le samedi, on avait pas cours, et donc, qu’on ne met pas son réveille à 6h00 du matin. Puis, le temps que je me rende compte qu’on était samedi, j’avais déjeuné, et j’étais lavé et habillé. Donc, pas possible d’aller me re-coucher. Super! Ensuite, parce que Bella avait un repas de famille inattendue et qu’elle avait repoussé notre rendez-vous à demain. Génial!
Je tourner en rond chez moi depuis plus de 2h, comme un fauve dans sa cage. Et j’allais exploser. Je ne supporte pas d’être enfermé, et surtout de ne pas savoir quoi faire.
J’avais déjà regardé la télévision, fait de l’ordinateur, fait de la musculation, sa qui m’avait valut le droit de re-reprendre une douche. J’avais même fait mes devoirs! Ce qui était, très rare. Mais rien à faire, je finissait toujours par me retrouver dans ce salon, ou je tournais en rond, faisais les 100 pas en m’énervant. J’allumais encore une fois la télévisons, mais au bout de quelques minutes, je me lassais déjà. Je regardais ma montre. 10h30. Et la journée n’était pas prête d’être fini.
Je décidé donc de sortir en ville. Je prends ma veste, met mes chaussures et m’apprête à sortir, quand la radio, que j’avais allumé après avoir éteins la télévision, car tourner en rond, c’tes déjà insupportable, mais en silence, c’est encore pire, entama le bulletin météo. J’attendis alors pour savoir de quoi il en revenait. Pluie. Je regardai le ciel. Bleu, avec quelques nuages, certes, mais relativement, bleu. Je dis relativement, car, bien sur, se n’était pas le ciel bleu tropical des Bahamas, ni même le ciel Azur de la côté du même non, et même pas le ciel de Los Angeles. Non, c’était un ciel bleu, mais bleu banal, bleu clair, mais pas lumineux, enfin bref. Je décidais de ne pas tenir compte de ce bulletin météo, certainement faux. Je sortie de chez moi, marchant 500m, et finalement, fit demi-tour, pour prendre une sacoche et un parapluie. Il ne pouvait pas se trompé à se point, le ciel était presque bleu, mais il valait mieux prévenir que guérir.
Je fis onc demi-tour, retourna jusqu’à chez moi, monta les marches de mon escalier quatre à quatre, me saisit de ma sacoche, pris mon petit parapluie, et fila dans la cuisine, venant de me rendre compte que j’avais oublié d’éteindre la radio en partant. Enfin prés, je ressortie de chez moi, redescendit mon escalier, et refis les 500m déjà parcourut.
Je marchais depuis 5 min environs, quand le vent se leva d’un seul coup, et que des nuages noirs vinrent ternir le magnifique ciel bleu qui les précédés quelques minutes auparavant. Je pestais, il allait certainement pleuvoir, la météo de la radio ne s’étais pas tromper. Comme pour répondre à mes pensées, je ressue une goute sur le front, juste une. Qui fut suivit d’une infinité d’autres, quelques secondes plus tard. Je sorti mon parapluie, content d’avoir fait demi-tour pour le prendre. Mais, comme si le destin s’acharné, une grosse rafale de vent arriva juste quand je l’ouvrais, et il se retourna avant de s’envoler dans la cour –fermée- d’un hôtel particulier. Super! Cette journée était super, il n’y avait rien à redire à cela. Je cherchais des yeux un abri, désespéré, puis, une lueur d’espoir surgit quad j’aperçus une bouche de métro. Je mis engouffré à toute vitesse. Bizarrement, elle était déserte, mais vraiment déserte. En même tant, les gens écoutent les bulletins météo, et quand ils annoncent de la pluie, ils restent chez eux.
Soudain, des bruits de pas. De femme, car j’entendais très nettement le bruit des ses talons qui claquait contre les marches métalliques du métro. Alors, je ne serais pas le seul à ne pas écouté les bulletins météo? Une voix, pestait tout comme moi quelques minutes auparavant, une voix féminine. Je ne m’étais donc pas tromper pour le bruit des talons. - Présence sur le forum : 5/7 - Que pense tu du forum ? (design, contexte ...) : Bah, j’aide les admins pour le design, alors xD - Où as tu connu le forum ? : Admin. - Code : - Spoiler:
Validé par T.
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